Le système GKR (Geometric Knowledge Representation) présente des limitations dans la preuve de calculs nécessitant des opérations temporelles "en arrière" ou "latérales", contrairement aux systèmes de preuve traditionnels. Par exemple, alors que les systèmes classiques peuvent prouver y = sqrt(x) en démontrant que x = y^2, GKR rencontre des difficultés avec de telles transformations sans engagements de données supplémentaires. Cette limitation affecte également sa compatibilité avec SHA256, où l'efficacité de GKR est nettement inférieure à celle d'autres fonctions de hachage traditionnelles, telles que Poseidon.