Galaxy Research a critiqué les rapports du New York Times et de l'ICIJ concernant 28 milliards de dollars de transactions cryptographiques illégales, les qualifiant de trompeurs et manquant de contexte. Selon Galaxy, ce chiffre ne représente que 0,52 % des flux totaux vers les échanges BTC, ETH, USDC et USDT en 2024, qui s'élèvent à 5,3 billions de dollars. Le volume des transactions cryptographiques illégales en 2024 est estimé entre 0,14 % et 0,4 % des transactions sur chaîne, ce qui est nettement inférieur aux 800 milliards à 2 billions de dollars de blanchiment d'argent annuel via les systèmes financiers traditionnels, selon les estimations de l'ONU. Galaxy a souligné que la transparence de la blockchain facilite le suivi des activités illégales, ce qui a permis à l'ICIJ de mener son enquête. De plus, les stablecoins font désormais partie des monnaies numériques les plus réglementées dans le cadre de la loi GENIUS et des réglementations MiCA.