Dans une récente clarification, il a été indiqué que les logiciels véritablement décentralisés et facilitant exclusivement les transactions entre pairs, sans garde ni contrôle tiers sur les actifs des utilisateurs, ne seront pas soumis aux nouvelles accusations 1960(b)(1)(C). Cette évolution souligne la reconnaissance juridique des plateformes décentralisées qui fonctionnent indépendamment de toute intervention tierce, ce qui pourrait influencer la manière dont les cadres réglementaires sont appliqués à ces technologies.