Santiago Roel Santos, PDG d'Inversion Capital, a suscité un débat en affirmant que les blockchains de couche 1 (L1) manquent d'effets de réseau positifs, suggérant que les valorisations actuelles sont gonflées par rapport à leur utilité réelle. Santos souligne les coûts élevés et les mauvaises expériences utilisateur comme des facteurs négatifs impactant ces réseaux.
En revanche, des analystes comme Jasper De Maere et Tomas Fanta soutiennent que les blockchains L1 présentent bien des effets de réseau, notamment dans des domaines tels que la validation, la sécurité et la liquidité. Ils estiment que des améliorations en matière de scalabilité pourraient renforcer la performance de ces réseaux. Par ailleurs, Martin Kupka met en avant le rôle des stablecoins et des plateformes d'échange dans la création de valeur du réseau. Le débat met en lumière des points de vue divergents sur la manière d'évaluer les valorisations des blockchains L1 et sur la nature potentiellement trompeuse des métriques actuelles.
Le débat sur les effets de réseau des L1 s'intensifie face au scepticisme des investisseurs
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